Proudhon a dit quelquechose pour nous…dépourvus de maux ils avaient une petite idée sienne, valentine, v……..?!u.. …… …. ……., v…….., v…….. .🎶allez paulette, rompez, corps, cor…

Ont dit que monsieur prudon euent a la fin quelquechose a partager, ça fut un drame pour d’autres, cents vingt deux a quatres pattes et vingt débonnetrés suivir le chemin vaporeux, étaient ré, eux rivés aux robes binnet, vé de, bertha rondant, l’empaliant des acaninats…le petit prince avait ces boites a cheptel, not’ paires’ qui épouille, je salis binoche…puis la lucarne c’est fermée sur ces bons peintres en lettres, mi aout, dans un recoin…les zakouski de gonzague, main tendues…

Isidor aurait aie quelquechose, un sixieme du marthe ira riat, et grès boeufs euent pets, dans l’autant, lá loin, malte des folies, herbes du cornus, claire comme une goute, frais matin du jour, bonne pâte, imago des sages, neutre comme une feuille, fait des tranquilles, bu…

Mais oú et donc or ni car, un pas ape raie l’hote t’reux il fait de l’os aux oise eaux, qui que quoi dont ou comment pourquoi, non mon mien, tien ton sont, nom mon mont, quelque en sait qu’est ce, ch’trude ailes…far au longue et au prunos, au guibbolet sentier des sommiers au ressort…d’avec le criquet la batte a lessive la lavette et le biche meton de courbette…le fléau au blé faucillant l’enperche pommé l’event frais et les rubans y bambinelles, la ronbiere au deux livrésquieux…enclin d’un peu rien penné comme un orphy fin dans la gueule d’un saucisson poudré, une rondelle dans l’ensachats de pots de STÉ cas chez…le tas de rats rits du terrain vague, assiette nu du peut d’attentats des pudibonds, suent crôaaaa….un ragot de chapin pour allumats du poele au tyuaux de mazout bleugrisaille, la dame du poirier de vie noires un florentin pendu en dents des ports, une souris dans l’echaume, simple cas caducques, cavalier, en t’y constipe su le sillon aux nayeux m’en…type peu peris pathétitiste, l’épate du dessus du rigolé…le fumet de lucky et n’en ayance la mande au phillips ne fait marron enchienneux des gaults mais renifle la volupte contenté du cousins au foin, le lé des truffes ennniché au couche d’accote du lapants des décolletés, pour l’histoire, le gardé champêtre au carnet rose de la rousse…le dénaguèrantdé, la patrie, la partie, l’appartide, l’appatride et l’apartheid, pour une butte a patate de moins, fête vos joules, selles a ouates…qui rete chaine s’ch’n’apeux…ouie, proudhon nous a dits quelquechose!!!…les yeux des éléphants, le tue du barri t’ont, ouistiti, cheese, banana, carotte naranja, professeur quoi de neuf, rixs minis…trois et deux, quatres pagaies, le vieil hydravion la hure sur les flotteurs, un gens fils armant son percheron, une de mie au boqueteaux sur le chemins de hallagé lé, la crême, le papier a cigartette au visage du lanceux d’pieu d’enclos, le crab’ en l’inox, le paraon mouchoir sur la tête, la petite rô d’un des chêne, et le gala joyeux embellas…la vêlue r’nageante le vieux balais débuchés des peroquets des perruques, poudrantes les sanguines du lavoir, les champs d’aïls ou moussus, le ronron des tourtereaux et de noixifs fume vinaigre électrique nous faisant l’an s’en vain, sot le saoult, fort de petit noir!

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