Sur les nuances de la legereté a offrir au mieux d’occupances, et sur les molécules dont l’abstinence signifient un soutien en amicale non fournissant ou intensifiant et sur la charge commune d’assumer les dérangements du réels par les en sevrage, ainsi si la terrasse du nouveau buvant le verre unique le voit comme multipliant la monnaie manquante pour les petits cafés durant son dosage amoindre, et qu’a ça table le compère n’en boit qu’un content d’avec lui non poussé, si le paysage tenus par les jardiniers n’est pris comme un unique vert de monotraitement pesant s’appesantant sur les temps des environnant, sur le broutant ou la serpette font le lé du sorgo ou du millet sauvage si le pissenlit finit salade non pour aperitifs pesé en volume, si la racine de gentiane, le fenouil servent a l’exilir du toussif non pour ivresse, si l’homme a la serpette fait de chaque poignée un interessement botanique qui garde la pelouse de la mi aout assez verte pour un dejeuner si la prairie agéable et non salissant, si ce que rapporte en non cout ses façons n’est pas réassimiler par le capitalisme a des consumables d’artificiance, si le lá et le maintenant et les ici pour le coutumier offre le normal de l’endroit et du temps si la ressource d’ici n’est pas volé de l’utile de son emploi par un d’ailleurs consumerisme productifs…et si le dernier qui marche sur les pieds des pas liberts s’en rends compte a ce qui ce le laisse faire parmis, mais avant tout offrir de comprendre et soutenir, non je n’offre ce verre, parceque j’ai été comme vous, cette cigarette je ne vous la donne moi même c’est de mégots vides laissés des vous partouts et de ce que les chiants qui ne plaisent aux racines a patates me font faire de nuages blancs et de cendres minerale a végétation de co n’ares de fenêtres de charbon actifs filtrante et légérante de vos courants de fluxs dans mes ondes, c’est du cendrier lá et de ce que vous ne savez les biens troné que je n’ai d’assez des cigarettes que vos taxes des civettes et des bancs publics des droits et s’aimant non d’acolats en acolytes mais du prêgnants des de faits de part l’un par de pour l’autres…