De la nation indienne, des mafias de la finance ordurières de la crise de 29 de la prohibition, du copavlovisme romantique de chais d’architecture zètas, et du village de hutte qui vit le peuple torin depesser et laisser viandes en prairies de sorgo et millet sauvage, de la peau du zébus meilleur livre de la mer morte, des meilleurs d’entre eux montant a l’echelle au dessus de grand aigle, du pays haut maudit des lors et des decharges de reserve, des iroikois refus d’eau mais prise du baton de feu, de leurs disparitions, des cherokee de las vegas et des plus grands arbres du monde de 150 ou de 2000 ans et du milieu du tas de boeing de pneus d’ordures en tout genre dans leurs reserves desertes, du faire le chié de l’avocat pueblo et du tuyau a mur d’eau jusqu’au potamac de la milliardième huitre vivante, de la eastvalley et du courant sur l’enclos rhodes island, sur les indiens qui eurent tous leurs soult et des quelques s’invitant au fou de l’etude du non droit de boire et de violenter, et sur quand il n’y eu que poubelle a s’y cacher d’emmangements, ils y sont encore, on ne sait le chez eux…

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