Sur les prégnance temporaliste des sumotoris lá au tatamis au milieu de la clairière au reflets du plan d’eau, au champs des reinettes et au soleil reflètés dans leurs chignons de jaìs noués et lacqués, du dojo de l’école au dela du gong d’entrées de la pagode, des hominidés heureux las du spectacle, et du fruit du cedra enterré…de la reunion aux bols de rizs au piments toutes les demies lunes solaire…sur la danseuse de katak et le dervich tourneurs, le fou au bonnet, et les milles disciplines des grelots astres, qui de ne rire de rien, pourvoit des nos en tentaliant, la frontiere du querelable de societant et du comprenhension touts, sur l’amort d’en la machine buvante les uns, sur une main ou manger l’en mis, sur le jus de la pierre en dú d’agrément invie des riens touts, sur laisser l’en l’êtat des cabinets pourlêchismismes, sur le saphiste nihile de l’en touts, sur ça siens en ayie laissez pourvus, sur le decoulie de moindre mouille d’aube a garde grain d’amouds, sur le laissant anevrir, non focal de vu dyslaidiés, les saules aux bords du baïkal, sur se nettoye les elytres a toucher de la peau de metropolitain a croissent de sucre brunis, dur le cactus imberbe de phaliques contrearcquieux chaotiques d’or, sur le silence au bruit du vent des misères, sur le trouble compulsifs des petits forgerons de l’en objet, sur le guide inflexifs enroulement des riennismes de l’encroyement rien, sur l’homme léeards tronqués par les magies des inconsciences de l’espaces d’etoiles, sur l’end’audeça de l’anneau du vers digère galet, sur le tiré haut du bas du lacs saumatres du moulin lavoir a marées et sur ces bas hauts du kern sur le glacier du torrent de l’alpage et son névé, la fontaine a brosses de cendres grasses, sur l’homme poilu qui fait l’enrévérences du faiseur de ses mégots, sur les poudres ventoline imitation lavazza sucrier blancs des sans asmes, sur l’anestésie de l’oeil du phospalugelés devant sa tasse de cacao clair…

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