sur la force d’ayance de nous et sur si petits nous sommes de touts d’en un, de puissance de en cru d’en instanteiste et péremptes des gouteux de savoirs faisances des nuances non bruts, et des longueurs mise de relatifs des non tempères de nos nos tempèrides et de leurs touts de suites contre nature, et de la noble pensées des eaux faisantes des toujours et légers planétaire, de nous d’en ça pour tous en chacuns fairent les saveurs des symbolisants ce que fort n’est de nos bienveillances de petitesses fêtes et de cheminiés des etres hors du puissancieux, d’entres nous colorants touts nos sens, et de fairent ce que touts faits des eaux quand bien n’est pris de dieuses volontés non volants, des toujours nous avons su cela, le faisant simplement, s’en occupants hors de ça, rêve dehors non de l’inexistent, comptant du tout uns sans valeurs des valeureux, pensant emsembles la suite du conte collectifs, l’imposant et ses tout de suite, nous ecartons de nos tranquilitès et de nos ors, de jade de nos visages interieur chaud du chants des grenouilles et crapauds, froid du glissement baveux du limacon, ne l’en sortie d’enfermer dans coquilles spirale de l’en malin, ces vices que naifs jeux des musiques des anges non des leurs comme nous savons nous les jouer et les ecouter, un tous…

Concevoir un site comme celui-ci avec WordPress.com
Commencer